À propos
La Société pour la nature et les parcs du Canada (SNAP) est le seul organisme de bienfaisance pancanadien qui se consacre exclusivement à la protection de nos terres publiques et qui veille à ce que nos parcs soient gérés de manière à protéger la nature qui y vit. La Section Vallée de l’Outaouais veille à la conservation des terres publics dans le bassin versant de la rivière des Outaouais et une portion du bassin versant du fleuve St-Laurent dans l’est ontarien – une région deux fois plus grande que la province du Nouveau-Brunswick! Fondée en 1969 par un groupe de citoyens concernés par des plans pour d’importants projets de développement dans le parc de la Gatineau, l’organisme a depuis été impliqué dans plusieurs enjeux de conservation dans l’est ontarien et l’ouest québécois tout en protégeant plusieurs milieux naturels que nous apprécions aujourd’hui
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La SNAP de la Vallée de l’Outaouais est votre porte-parole pour les milieux sauvages dans l’Ontario de l’est et le Québec de l’ouest! Nous cherchons le consensus et travaillons en collaboration avec des gouvernements Autochtones, des gouvernements de sociétés d’État, des grands patrons, le secteur du tourisme et des communautés à travers la région pour promouvoir la préservation et la gestion saine de nos ressources naturelles riches et terrains publiques.
Nos priorités sont:
La création de nouveaux parcs et autres types d’espaces protégés, soutenir des engagements nationaux et provinciaux pour mettre de côté plus d’espaces à protéger,
S’assurer que les espaces protégés actuels sont gérés en priorité pour être sûr que la nature est protégée et soutenue (intégrité écologique),
Identifier, définir et protéger à terme les liens naturels important qui existent entre les parcs et les espaces protégés pour soutenir le mouvement perpétuel des espèces, dans le cadre de cycles de vie normaux ainsi qu’en réponse au changement climatique,
Pour connecter les canadiens, et particulièrement les enfants et la jeunesse à la nature à travers l’éducation et des programmes de gérance conçus pour construire et encourager une appréciation continue de la valeur de la nature.
Nos succès récents incluent:
-Assurer une réduction de 22% de l’espace ouvert pour l’exploitation industrielle forestière dans le Parc provincial Algonquin.
-Sécuriser une zone protégée presque aussi grande que la taille du Parc Algonquin, dans les comtés situés autours du parc, où la chasse et les captures des loups sont interdites.
-Sécuriser la préservation provisoire de presque 1800 kilomètres carrés de la ligne de partage des eaux de la Rivière Dumoine – le dernier affluent du Québec non endigué au niveau de la Rivière des Outaouais et un espace connu pour sa faune et flore abondante, des forêts adultes des opportunités de loisirs hors pair,
-Soutenir la fondation de nombreux petits espaces protégés provisoires à l’ouest du Québec, incluant le Mont O’Brien, Domaine de la Vérendrye, Maganassippi et les Réserves de Biodiversité provisoires du Mont-Sainte-Marie,
-Lancer une campagne ambitieuse pour assurer la protection de certaines parties de la ligne de partage des eaux de la Rivière Noire et la Rivière Coulonge à l’ouest du Québec, et,
-Soutenir la publication de Wildlife on Roads, un guide pour la collecte de données à propos de l’écologie des routes pour les citoyens scientifiques.
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La Société pour la nature et les parcs du Canada de la Vallée de l’Outaouais (SNAP-VO) se consacre à protéger les terres publiques bordant le bassin versant de la rivière des Outaouais et les régions attenantes de l’est de l’Ontario et de l’ouest du Québec, soit une région deux fois plus grande que la province du Nouveau-Brunswick!
Cette région empreinte de diversité, au confluent des forêts mixtes du sud et des forêts boréales au nord, abrite un éventail impressionnant d’espèces animales et végétales. Quelque 400 espèces d’animaux y ont élu domicile, y compris des espèces sauvages emblématiques comme l’orignal, l’ours noir et le loup algonquin, aussi furtif soit-il. Cette région héberge des espèces d’oiseaux rares et menacés comme la paruline azurée et des plantes plus délicates comme le ginseng américain. Caractérisée par des forêts imposantes, de grands lacs et des rivières sauvages, notre région offre de nombreuses opportunités de conservation.
La rivière des Outaouais (prénommée Kitchissippi par le peuple algonquin, qui signifie « grande rivière ») s’étend sur 1271 km et a été navigué et colonisée en premier par les Hurons, les Algonquins, les Iroquois et les Outaouais. Il s’agit de la deuxième plus grande rivière dans l’est du Canada ( située, dans sa plus grande partie, dans le Bouclier canadien) et son volume d’eau équivaut à la quantité d’eau retrouvée dans l’ensemble de l’ouest de l’Europe. La source du bassin versant provient du lac des Outaouais (Québec), situé à 250 km au nord d’Ottawa. Certains des plus grands parcs au sein du bassin versant incluent le parc provincial Algonquin, le parc de la Gatineau, le parc national d’Opémican, le parc provincial Samuel de Champlain, le parc provincial Fitzroy, le parc provincial Silver Lake, le parc national de Plaisance et le parc provincial Bon Echo.
Ses écozones terrestres sont le bouclier boréal et les plaines à forêts mixtes. La région de la Vallée de l’Outaouais, bien qu’étant l’une des régions plus menacées au Canada, abrite les écosystèmes les plus diversifiés au Québec. Au moins 24 espèces en péril aux niveaux national ou provincial y ont élu domicile, comme le petit blongios, la tortue ponctuée et le ginseng à cinq folioles. Son microclimat et ses substrats sablonneux et calcaire alimentent des habitats de terres humides et forestiers riches qui pourvoient à la diversité de la faune et de la flore (source : Garde-rivière des Outaouais).
Parmi les autres espèces, on peut observer le grand héron (retrouvé sur toute la longueur de la rivière des Outaouais), l’esturgeon jaune (important pour les humains en Ontario depuis des milliers d’années), les moules d’eau douce (il existe plus d’espèces de moules dans la rivière des Outaouais que dans l’ensemble des lacs et rivières en Europe), l’orignal et les castors.
Le trille blanc, retrouvé partout dans la Vallée, est l’emblème floral officiel de l’Ontario. Le pin blanc, l’arbre emblématique de cette même province, représentait l’essence d’arbre la plus commercialisée à l’apogée de l’industrie forestière du 19e siècle. L’arbre emblématique de la province de Québec, le bouleau jaune, croît merveilleusement bien dans nos forêts du sud; et nous pouvons souvent observer son emblème floral provincial, l’iris retrouvé sur le drapeau bleu, le long des nombreuses étendues d’eau de la région.
Les régions ontariennes de Temagami et des hautes terres de la Madawaska, ainsi que les régions québécoises du Pontiac et du Témiscamingue, représentent des secteurs d’intérêt pour la SNAP-VO en matière de nouveaux parcs et aires protégées.
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Vous pouvez effectuer un don pour soutenir notre travail et vous porter volontaire pour nous aider avec la sensibilisation publique ou vous investir avec une campagne spécifique. Suivez-nous sur Facebook et inscrivez-vous à notre infolettre pour être au courant de nos dernières campagnes et nos activités du moment.
NOTRE MISSION
La Section de la Vallée de l’Outaouais de la SNAP prône la création d’une écosphère saine permettant de vivre tout en respectant les écosystèmes naturels. Pour se faire, la section s’efforce :
- D’assurer la protection des écosystèmes présents dans les parcs, les milieux sauvages et espaces naturels du Canada, ainsi que de préserver la diversité des habitats et des espèces ;
- De sensibiliser aux principes écologiques et à la richesse des milieux sauvages, grâce à l’éducation, la reconnaissance et l’expérience ;
- D’encourager les initiatives individuelles visant à atteindre ces objectifs ;
- De travailler en collaboration avec le gouvernement, les Premières Nations, les entreprises, les organismes et particuliers, privilégiant un modèle de prise de décision qui favorise autant que possible le consensus.
Pour la Section de la Vallée de l’Outaouais de la SNAP, c’est en protégeant la santé des différents éléments qu’il est possible d’assurer celle de notre planète, dont dépend notre propre santé.
NOTRE VISION
Dans un contexte de transformations profondes, le Canada, qui héberge un quart des forêts sauvages subsistantes au monde, se distingue comme un symbole d’espoir dans la conservation. Les actions qui seront mises en œuvre au cours de la prochaine décennie seront déterminantes, avant que les dernières grandes forêts et les écosystèmes marins et d’eau douce ne soient anéantis par le développement industriel. Nous avons encore l’extraordinaire opportunité de protéger 50% ou plus des derniers espaces naturels, comme de nombreux sites se trouvant dans la Vallée de l’Outaouais.
La SNAP souhaite que le Canada serve d’exemple en assurant la conservation de grands territoires et plans d’eau au sein de ses frontières terrestres et maritimes. Notre but est de veiller à ce que le Canada préserve des lacs purs, de vastes troupeaux de caribous et d’abondantes populations de saumons sauvages ; que nous partagions ce territoire avec de superbes prédateurs tels que les grizzlis et les loups ; que nous enrichissions l’éthique de la terre des cultures Canadiennes ; et enfin que nous puissions continuer à profiter de la beauté des paysages naturels qui enrichissent notre quotidien.
Nous comprenons que la réconciliation est une question d’équilibre et de guérison entre les peuples autochtones et non autochtones.
Nous comprenons que la réconciliation est une question d’équilibre et de guérison entre les peuples autochtones et non autochtones, y compris les organisations à but non lucratif qui travaillent à la protection des terres et des eaux partout au Canada. Nous reconnaissons que nous travaillons sur les territoires des nations Anishinabe (Algonquin) et Kanienʼkehá:ka (Mohawk).
La SNAP-VO reconnaît que le respect des valeurs de justice, d’équité, de diversité et d’inclusion des voix et des perspectives autochtones est un processus continu qui nous oblige à être activement à l’écoute, à rendre des comptes et à être de véritables partenaires des peuples autochtones.
Le soutien à la conservation menée par les autochtones est un élément essentiel de la réconciliation. Les communautés autochtones sont à l’avant-garde des efforts de conservation au Canada et dans la vallée de l’Outaouais, et elles gèrent leurs territoires depuis des temps immémoriaux.
Nous reconnaissons que notre section a la responsabilité de soutenir les peuples autochtones qui souhaitent
protéger la terre, l’eau et l’air pour les générations futures. Le respect de la souveraineté et du leadership des nations autochtones et le soutien à la conservation menée par les autochtones garantiront un avenir à la nature.
De nombreuses communautés autochtones font progresser régulièrement les aires protégées et conservées autochtones (IPCA) et les programmes des gardiens autochtones, et nous soutenons les nations autochtones et leurs dirigeants dans l’identification, la création et la gestion d’aires protégées et d’écosystèmes.
L’EQUIPE |
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John McDonnell, Directeur Général – Section de la Vallée de l’Outaouais |
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Sabrina Howe, Coordinatrice en Développement Philanthropique |
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Geneviève Le Blanc, Directrice de la Conservation |
Geneviève a grandi à Saint-Lazare (au Québec) avant de déménager à Gatineau en 2012 pour poursuivre ses études à l’Université d’Ottawa. Dans un premier temps attirée par la génétique et l’évolution, elle s’est ensuite intéressée aux enjeux de conservation et a obtenu une maîtrise en Durabilité de l’Environnement. Au cours de ses études, elle a collaboré avec le bureau national de la SNAP afin d’identifier les obstacles au développement des aires protégées au Canada. De plus, elle a effectué des recherches sur la question de la légalisation du Parc de la Gatineau, se familiarisant avec la SVO-SNAP. Avant d’intégrer son poste, elle a travaillé comme chargée de projet évènementiel à Enviro Éduc-Action. Elle aime beaucoup les randonnées pédestres, le kayak, faire du vélo et le camping. Vous pouvez contacter Geneviève à gleblanc@cpaws.org |
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Johanna Samu, Coordonnatrice des communications | Johanna est notre coordinatrice de communication dévouée, titulaire d’un baccalauréat en études interdisciplinaires, avec une spécialisation en communication et en sociologie. Elle possède un fort penchant pour la spécialisation dans des domaines à multiples facettes tels que les relations publiques, le design UX/UI, les médias, le marketing, les communications internes et externes, les communications internationales, la gestion d’entreprise, l’équité, la diversité, l’inclusion et les ressources humaines. Son objectif principal à la SNAP-VO est de cultiver une compréhension profonde de ces pratiques de conservation interdisciplinaires, s’équipant ainsi pour de futures poursuites tout en servant d’inspiration aux personnes partageant les mêmes idées. Johanna est titulaire d’un diplôme en relations publiques et d’un certificat en études de design, tous deux obtenus au Collège Algonquin. Tout au long de son parcours professionnel, Johanna a travaillé avec diverses organisations dans la région métropolitaine d’Ottawa et dans la région de l’Arche de Frontenac. Cette expérience a éveillé son enthousiasme pour les industries interdisciplinaires, notamment les communications, la diversité et l’inclusion, la gestion des affaires et l’entrepreneuriat, la sociologie, les secteurs nucléaire et minier, les relations internationales et les affaires, les médias et le design, ainsi que les organisations non gouvernementales et les soins de santé. Pour toute demande de renseignements ou de collaboration, n’hésitez pas à contacter Johanna à l’adresse ov-outreach@cpaws.org. |
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Pascal Rousseau, Coordonnateur du Programme des gardiens de la faune du Canada |
Pascal est titulaire d’un baccalauréat en géographie, analyse et aménagement du territoire de l’Université du Québec à Montréal et est candidat à la maîtrise dont la thèse porte sur la relation entre les identités territoriales et l’évolution du réseau des parcs nationaux du Canada. Photographe, amoureux de la nature et des grands espaces, Pascal a voyagé pendant plusieurs années à travers les paysages naturels d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Sud. Il en est revenu convaincu que toute entreprise de conservation des milieux naturels doit avant tout passer par la diffusion scientifique et la coopération entre toutes les parties concernées. Il voit dans les programmes éducatifs mis en place par la SNAP-VO un terrain de jeu idéal pour développer des méthodes innovantes de sensibilisation à l’environnement et engager un dialogue significatif avec le grand public sur les enjeux de la conservation dans la grande vallée de l’Outaouais. Vous pouvez contacter Pascal à l’adresse suivante : prousseau@cpaws.org. |
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Julia Clarke, Coordonnatrice du projet des bassins versants des rivières Noire et Coulonge |
Julia a obtenu son diplôme de premier cycle en zoologie à l’université de Calgary et vient de terminer sa maîtrise en biologie à l’université Carleton. Elle a toujours été passionnée par la nature et tous les êtres vivants et rêvait de travailler à la protection de nos magnifiques lieux et espaces naturels. Lorsqu’un poste s’est ouvert à la SNAP-VO, Julia a sauté sur l’occasion et travaille maintenant avec nous depuis septembre 2022. Dans ses temps libres, Julia aime faire de la randonnée et du ski de fond dans les collines de la Gatineau et passer du temps avec sa famille.
Vous pouvez contacter Julia à l’adresse suivante : jclarke@cpaws.org.
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Sasha Huybregts, Coordonnatrice du projet des Collines de la Madawaska |
Sasha a grandi à Ottawa et est revenue récemment dans la région après avoir obtenu son baccalauréat en sciences de l’environnement à l’Université de Guelph. Elle est passionnée par l’écologie et la conservation et se réjouit de travailler à la création d’aires protégées dans les hautes terres du Madawaska. Sasha aime faire de la randonnée, du camping ou s’asseoir avec un bon livre pendant son temps libre. Vous pouvez contacter Sasha à l’adresse madawaska@cpaws.org. |
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CONSEIL D’ADMINISTRATION |
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Paul Lemoine, Président de la Section |
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Monique Boivin, Vice-présidente |
Je suis d’abord et avant tout ornithologue amateur! Mon père m’a offert mes premières jumelles alors que j’avais 12 ans. Je pratique le loisir ornithologique dans mes moments perdus et depuis ma retraite, de façon plus intense. C’est aussi mon père qui m’a fait découvrir la pêche, le camping, la raquette, la randonnée. Je m’imaginais être la jeune autochtone Kateri Tekakwitha alors que je le suivais sur les pistes de randonnée du Parc Algonquin ou sur les terres sauvages de mes oncles dans le comté de Renfrew. Mais que fait un ornithologue au sein de la SNAP ? Vous souvenez-vous de l’image du canari dans les mines de charbon ? Ces oiseaux étaient employés pour alerter les mineurs en cas de présence de gaz toxiques. De nos jours, les oiseaux sont toujours porteurs d’un message alarmant. Si vous avez visionné le documentaire The Messenger, sorti en 2017, vous savez que le déclin des populations d’oiseaux est en effet alarmant et souvent imputable à la disparition de leur habitat naturel. La SNAP est et restera une précieuse ressource pour la protection des habitats des oiseaux et des autres espèces qu’elles soient menacées ou florissantes. J’ai exploré plusieurs parcs au fil des ans, notamment les parcs nationaux Terra-Nova, Pointe-Pelée et Mont-Revelstoke. Que ce soit le canot-camping dans le Parc provincial Lady Evelyn-Smoothwater ou la randonnée sur l’Île d’Anticosti, notre réseau de parcs recèle de nombreuses occasions de se ressourcer dans des endroits sauvages ou naturels. Il faut les protéger jalousement! Mais il y a aussi des joyaux inconnus comme le Refuge du Mont O’Brien en Outaouais qui mérite peut-être une attention particulière. La SNAP a fait partie de mon paysage culturel depuis un grand nombre d’années et je me sens privilégié d’avoir l’opportunité de contribuer activement à sa mission. |
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Jane Maxwell, Secrétaire |
Jane a passé une grande partie de sa carrière à Toronto, œuvrant pendant plus de 25 ans dans le domaine du développement international avec de nombreuses ONG. Plus tard dans sa carrière, elle s’est orientée vers le secteur de la collecte de fonds, poursuivant son travail auprès des milieux du développement international et de la justice social. Depuis qu’elle s’est installée à Ottawa pour son travail en 2005, elle apprécie la Capitale Nationale et le Parc de la Gatineau. Désormais retraitée, elle est très active en tant que bénévole auprès d’un grand nombre d’organisations à but non lucratif. Jane aime le grand air et est passionnée de canoë, de vélo, de randonnée et de ski de fond. Elle considère le Parc de la Gatineau comme son deuxième chez-soi et son vœu est d’aider la SVO-SNAP à obtenir une protection juridique pour le Parc. Au cours de sa vie, elle a visité de nombreux parcs nationaux et provinciaux canadiens et apprécie les campagnes de la SNAP visant à protéger et préserver les espaces naturels et sauvages du Canada. En 2016, Jane a rejoint le Conseil d’Administration de la SVO-SNAP et espère pouvoir user de ses compétences et expériences en collecte de fonds pour contribuer à l’organisation des évènements et des activités d’engagement du public de la SVO-SNAP. Mais que fait un ornithologue au sein de la SNAP ? Vous souvenez-vous de l’image du canari dans les mines de charbon ? Ces oiseaux étaient employés pour alerter les mineurs en cas de présence de gaz toxiques. De nos jours, les oiseaux sont toujours porteurs d’un message alarmant. Si vous avez visionné le documentaire The Messenger, sorti en 2017, vous savez que le déclin des populations d’oiseaux est en effet alarmant et souvent imputable à la disparition de leur habitat naturel. La SNAP est et restera une précieuse ressource pour la protection des habitats des oiseaux et des autres espèces qu’elles soient menacées ou florissantes. |
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Varvara Lobanova, Trésorière | |||||||
Bola Alamu |
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Robyn Molnar |
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Chris Reid |
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Alison Sidney |
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Graham Smart |
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Paul Wernick |
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